Smartphones, consoles de jeux, tablettes, ordinateurs… Autant d’appareils high tech que l’innovation rend obsolète chaque année. Pour continuer de rendre le secteur attractif, le marché de la seconde vie prend de l’essor en France, boosté par la pression environnementale et le pouvoir d’achat. Pionnier de l’économie circulaire des équipements high tech, CompaRecycle a mis en place un modèle éprouvé qui a déjà permis le recyclage de sept millions d’appareils !
Depuis 2011, Gaël Brouard, ex-directeur des ventes du fabricant Nokia, a mis en place une véritable prouesse économique et écologique. Un modèle durable et en circuit court : CompaRecycle collecte les appareils dormants pour leur offrir une seconde vie. Alors que moins de 20 % des smartphones dans le monde sont recyclés, le challenger du marché défend la réintroduction des composants rares au cœur de la chaîne industrielle, tout en améliorant le pouvoir d’achat des consommateurs. Un cercle vertueux grâce auquel ont déjà été redistribués plus de 900 millions d’euros de bons d’achat ! « Plus de 120 millions de smartphones sont encore dans les tiroirs des Français, alors qu’ils perdent 20 % de leur valeur chaque année. Ce qui pourrait représenter en moyenne 500 à 600 euros par foyer. Un montant non négligeable en période de crise du pouvoir d’achat », reconnaît Gaël Brouard.
En moins de quinze ans, CompaRecycle a déjà racheté plus de sept millions d’appareils high tech, et se situe sur la première marche du podium en termes de prix. « Nous nous sommes lancés alors qu’il y avait très peu d’acteurs sur ce marché. A l’époque, ils en profitaient pour proposer des prix très bas pour les consommateurs. De notre côté, nous avons décidé d’agréger l’ensemble des repreneurs et reconditionneurs afin de les mettre en compétition et de rendre le secteur vraiment attractif avec des prix de rachat plus élevé », explique Gaël Brouard. Résultat, les prix tendent à la hausse et interpellent les consommateurs, prêts à arrondir leurs fins de mois ! Grâce à son comparateur unique, qui agrège les tarifs de plus de 65 repreneurs, CompaRecycle est à même de maximiser la valeur des appareils dormants et obsolètes. Et de proposer des tarifs de rachat de téléphones parfois 150 à 300 euros plus cher que certains opérateurs ! De quoi séduire les consommateurs et leur redonner confiance en ce marché qui n’a pas d’autre choix que de se structurer.
Plus de 7 millions d’appareils ont déjà été reconditionnés et remis sur le marché de l’occasion par CompaRecycle. CompaRecycle
En effet, les smartphones, consoles, tablettes et ordinateurs sont composés de matériaux rares : terres rares, métaux rares, cobalt, lithium, tantale… Autant de ressources naturelles précieuses dont l’extraction et le raffinage nécessitent d’importants efforts en matière d’énergie et sont sources de pollution pour les milieux. D’autant qu’ils sont concentrés dans certains pays, principalement la Chine, exposant l’industrie européenne non seulement aux risques de pénurie mais aussi à l’instabilité des prix. « Ce que je prône avec CompaRecycle, c’est une économie circulaire, un circuit court qui privilégie l’emploi national et les acteurs français. Nous collectons les appareils en France et les revendons aux reconditionneurs français. Aucun intérêt pour nous de développer notre modèle hors des frontières de l’Europe. Cela n’aurait aucun sens écologiquement parlant », reconnaît Gaël Brouard.
Ainsi, chacun peut librement estimer le prix de son appareil en ligne et en tirer le meilleur tarif. Via la plateforme en ligne CompaRecycle, le processus est simple et rapide. L’utilisateur renseigne la marque, le modèle et l’état de son mobile – fonctionnel, abîmé ou cassé – afin d’obtenir une estimation de reprise. Deux options s’offrent alors à lui : recevoir un virement après l’envoi gratuit du produit ou se rendre en magasin pour bénéficier, dans certains cas, d’un bonus réduisant le coût de son prochain achat. L’IMEI permet de vérifier l’authenticité de l’appareil et d’écarter tout risque de vol. Un outil de géolocalisation indique au consommateur où il peut revendre et utiliser son bon d’achat de reprise au plus près de chez lui. Grâce à la mise en place d’un partenariat avec un logisticien spécialiste du SAV à Vitré (35), CompaRecycle collecte ainsi l’appareil et assure son diagnostic complet : tests d’apparence esthétique et de fonctionnalités, effacement total des données personnelles et professionnelles. C’est après cette phase que l’appareil est transmis à un reconditionneur agréé par la plateforme. Ce dernier assure la remise en état totale, en se rapprochant le plus de l’état neuf, afin d’introduire l’appareil dans le circuit de la seconde main, le marché de l’occasion des produits high tech, en magasins spécialisés ou en ligne.
« Notre mission est de redonner du pouvoir d’achat aux consommateurs sur la base du recyclage de leurs appareils », précise Gaël Brouard. « Nous ne nous battons pas contre les constructeurs bien au contraire, qui développent chaque année de nouveaux modèles. Car l’innovation est le levier de croissance du marché de l’occasion et du reconditionnement. A l’instar de l’automobile, qui peut mieux racheter, réparer et revendre, avec des pièces d’origine, que les revendeurs spécialistes agréés par les marques ? », interroge Gaël Brouard. La réponse est dans la question. D’ailleurs, le modèle économique de CompaRecycle est déjà plébiscité par de nombreuses enseignes qui lui ont confié la gestion de leur service rachat d’appareils high tech. Comme Orange Luxembourg et Belgique, Samsung Stores en France et en Belgique, Auchan, Fnac-Darty, Cdiscount et même SFR pour la partie reprise de flottes entreprise. Un partenariat gagnant-gagnant qui offre aussi la possibilité aux consommateurs de revenir en magasin pour transformer le montant de leur reprise en bons d’achat, et renouveler leurs appareils.
Jamais le pouvoir d’achat n’a été un sujet aussi sensible. Alors que 120 millions de smartphones usagés dorment dans les tiroirs des Français, perdant chaque année 20 % de leur valeur, ils représentent une véritable manne économique pour les consommateurs ! CompaRecycle aide les Français à sortir leurs vieux appareils high tech du grenier et améliore leur pouvoir d’achat.
En 2011, CompaRecycle était pionnier de la seconde vie des appareils high tech. Créé par Gaël Brouard, ancien directeur des ventes chez Nokia, CompaRecycle a mis en place un process rôdé pour permettre aux consommateurs de revendre leurs vieux smartphones, tablettes, ordinateurs portables ou même consoles de jeux et de récupérer une belle petite somme. En moyenne, ces appareils pourraient rapporter 500 à 600 euros à leurs propriétaires ! « Nous avons noué un partenariat avec un spécialiste du SAV, une plateforme logistique dans l’Ille-et-Vilaine, vers laquelle sont routés tous les équipements que l’on rachète », explique Gaël Brouard. « Elle assure le diagnostic complet de l’appareil, avec tests cosmétiques et fonctionnels, et garantit l’effacement total des données. Puis, l’appareil est transmis à un reconditionneur agréé qui s’occupe de le remettre en état proche du neuf et de le revendre au sein de son circuit, qu’il s’agisse de magasins physiques ou de sites internet. »
Pour Gaël Brouard, la mission s’arrête là. CompaRecycle n’est pas un énième site de revente de smartphones d’occasion. Sa valeur ajoutée, c’est son modèle économique en circuit court, privilégiant les acteurs français et l’emploi national. Et surtout son outil de comparaison des prix de reprise, ultra sophistiqué, développé en interne et dont la conception est gardée secrète. C’est cet outil qui lui permet d’affirmer fièrement être le mieux placé en termes de prix de rachat auprès des consommateurs. « Notre plateforme agrège les tarifs de reprise de plus de 65 repreneurs français, spécialistes du reconditionnement. Dès qu’un particulier entre les données concernant son appareil, il obtient ainsi le meilleur prix de reprise », indique Gaël Brouard. Et les différences peuvent parfois atteindre plusieurs centaines d’euros entre CompaRecycle et ses concurrents, opérateurs et pure players investis dans la reprise de smartphones d’occasion !
« Notre rôle, c’est de sortir les vieux smartphones du tiroir, qu’ils soient cassés ou seulement abîmés, afin de leur redonner une deuxième vie ou en récupérer les pièces qui sont désormais essentielles à l’industrie de la téléphonie mobile », commente le PDG de CompaRecycle. Et pour cause, le monde risque de connaître une pénurie de composants électroniques à brève échéance. « Il y a aujourd’hui plus de métaux rares dans les produits dormants que tout ce qu’il reste à extraire », affirme-t-il. Terres rares, lithium, cobalt, tantale, tungstène sont en effet présents dans les batteries, les écrans, les circuits imprimés et les hauts parleurs de bon nombre d’équipements high tech. Si leur extraction et leur raffinage, extrêmement énergivores et polluants, sont concentrés dans quelques pays, notamment la Chine, l’industrie européenne est exposée à des tensions d’approvisionnement et à la volatilité des prix. A l’heure où moins de 20 % des smartphones en circulation dans le monde sont recyclés - reconditionnés, la pression sur les ressources naturelles s’intensifie.
Grâce à une plateforme simple et intuitive, il est facile d’estimer le prix de rachat de son appareil, en mettant en concurrence plus de 65 reconditionneurs nationaux. © CompaRecycle.
La marche en avant pour revendre son appareil via CompaRecycle est simple. Sur la plateforme en ligne, sont posées toutes les questions nécessaires à l’évaluation du tarif de la reprise : le mobile est-il fonctionnel ? Quel est son état général ? Est-il abîmé ? Cassé ? Les réponses entraînent l’estimation du prix de rachat. « Un prix calculé selon deux alternatives », explique Gaël Brouard. « Le consommateur peur rentrer ses coordonnées bancaires pour obtenir un virement, recevoir une étiquette prépayée et envoyer le produit. Sinon, il peut choisir d’aller en magasin. Souvent, cette option offre la possibilité d’ajouter un bonus à la reprise qui permet de diminuer le coût de son prochain appareil ». En rentrant son IMEI, CompaRecycle vérifie ainsi l’identification du produit et s’il n’a pas été volé. Grâce à un outil de géolocalisation, le consommateur peut ensuite choisir de revendre son produit dans l’enseigne partenaire la plus proche et d’utiliser son bon d’achat au sein du magasin le jour même.
Partenaire d’Orange Luxembourg et Belgique, présent dans tous les Samsung Stores de France et de Belgique, Auchan, Fnac-Darty et Cdiscount, CompaRecycle assure le back office reprise d’équipements high tech pour l’ensemble de ces enseignes. Une manière aussi de ramener les clients au sein des magasins physiques. Avec des offres de rachat qui peuvent monter jusqu’à plus de 1200 euros, incluant des bonus reprises, les consommateurs peuvent renouveler leur smartphone pour quelques dizaines d’euros. En moins de 15 ans, CompaRecycle a ainsi assuré la reprise de plus de sept millions d’appareils et redistribué plus de 950 millions d’euros de bons d’achats. Un réel atout en pleine crise du pouvoir d’achat !
Ce lancement est aussi attendu avec impatience par les acteurs du marché du reconditionné.
« Chaque année, à l’occasion de la sortie du nouvel iPhone, le marché du reconditionnement enregistre une forte hausse des volumes de reprises sur les modèles précédents », note Gaël Brouard, directeur général de CompaRecycle.Le spécialiste constate un bond de 55 % le jour même de la mise en disponibilité du nouveau modèle, puis une croissance moyenne de 35 % sur le mois en cours. Les reprises concernent dans 90 % des cas des smartphones, dont l’iPhone qui représente à lui seul 65 % du volume total. « C’est une véritable aubaine, car ces sorties tant attendues alimentent massivement le marché de l’occasion qui ne serait rien sans la reprise », s'enthousiasme Gaël Brouard.
Ce lancement est aussi attendu avec impatience par les acteurs du marché du reconditionné.
« Chaque année, à l’occasion de la sortie du nouvel iPhone, le marché du reconditionnement enregistre une forte hausse des volumes de reprises sur les modèles précédents », note Gaël Brouard, directeur général de CompaRecycle.
Le spécialiste constate un bond de 55 % le jour même de la mise en disponibilité du nouveau modèle, puis une croissance moyenne de 35 % sur le mois en cours. Les reprises concernent dans 90 % des cas des smartphones, dont l’iPhone qui représente à lui seul 65 % du volume total. « C’est une véritable aubaine, car ces sorties tant attendues alimentent massivement le marché de l’occasion qui ne serait rien sans la reprise », s'enthousiasme Gaël Brouard.
Depuis maintenant 16 ans qu’il suit ce marché de la seconde main, Recommerce Group observe le même phénomène.
Chaque sortie d’un nouvel iPhone entraîne, selon le fournisseur, dans les semaines qui suivent une baisse des prix entre 10 et 15 % en moyenne sur les modèles précédents sur le marché du reconditionné et, dans le même temps, une hausse des reprises de plus de 50 % des anciens modèles par rapport aux mois précédents.
Mécaniquement la sortie de l’iPhone 17 va aiguiser les demande pour les modèles reconditionnés récents - dont les iPhone 14, 15 et 16 -, désormais plus accessibles en reconditionné. Alors que les « applemaniaques » casseront leur tirelire – avec des prix attendus entre 1 000 pour la version de base et 1 300 euros pour l’iPhone 17 Pro Max - l’iPhone 14 reconditionné sera proposé moins de 400 euros.
Les iPhone sont particulièrement prisés sur le marché de la seconde main. Pour sécuriser l’achat d’un mobile reconditionné, les consommateurs font le choix des modèles premium des grands marques.
Dans le top 10 des smartphones reconditionnés les plus vendus par Recommerce en 2024, on trouve ainsi huit iPhone et deux Galaxy Samsung.
Pour le consommateur, la sortie d'un nouveau modèle est le meilleur moment pour revendre son ancien smartphone. « La reprise permet de financer une partie de son nouvel achat, qu'il soit neuf ou reconditionné, augmentant ainsi directement le pouvoir d'achat des consommateurs », avance Recommerce.
Ces dernières années, le marché de la seconde main connaît un réel engouement. La part des smartphones reconditionnés en circulation a triplé en sept ans.
En 2025, plus d’un Français sur cinq utilise un smartphone d’occasion, selon la dernière édition du baromètre de Recommerce, réalisé avec Kantar.
Le recours à la seconde main répond avant tout à des impératifs économiques. Le prix constitue le principal levier à l’achat (72 %), loin devant les motivations environnementales qui arrivent néanmoins en deuxième position (36 %). L’impact sur la planète est loin d’être neutre, De l’extraction de terres rares à l'assemblage des composants, la fabrication des smartphones est fortement émettrice en CO2.
Le marché du reconditionné pourrait, en ce mois de septembre, bénéficier d’un deuxième « effet Kiss Cool » avec la rentrée scolaire.
Le reconditionné est devenu un réflexe naturel pour équiper les écoliers d’un mobile. Selon la même étude, 60 % des parents ont déjà acheté un smartphone reconditionné pour leur enfant et 20 % envisagent de le faire.
Prêchant pour leur paroisse, les professionnels de ce marché rappelle, qu’à la différence de l’occasion entre particuliers, le reconditionné constitue une assurance de disposer d’un produit testé, remis en état et garanti.
Pour autant, le dynamisme du marché du reconditionné attire, comme toujours, des acteurs opportunistes. Pour séparer le bon grain de l’ivraie, privilégiez une société établie en France ou tout du moins en Union européenne, justifiant d’une certification comme le RecQ « Reconditionnement de Qualité » délivré par Dekra Certification.
Le nombre de points de contrôle (entre 20 et 60) effectués sur les différents composants – écran, batterie, capteurs, connecteurs… -, l’origine des pièces de rechange (marquage CE) ou la durée de la garantie (12, 24 mois) sont autant d'éléments différenciants.
Europe 1 Bonjour Initiatives en France CompaRecycle : le site qui facilite la reprise de nos appareils auprès de professionnels du reconditionnement
120 millions de smartphones dans les tiroirs des français - 80% sont fonctionnels et valorisables !
17 ans à peine après leur invention, les smartphones ont conquis la planète : plus de 7 milliards d’exemplaires ont déjà été fabriqués et un appareil se vend toutes les 50 secondes. L’impact sur l’environnement est d’autant plus fort que 80% des émissions de gaz à effet de serre a lieu pendant la fabrication. Et pourtant, il existe des solutions pour "téléphoner durable". Regardez.
CompaRecycle a contribué à ce que le volume de reprise de smartphones d’occasion décolle en France (+50%), grâce à un modèle générant un vrai marché, donc des prix incitatifs (+40% depuis sa création). Jusque-là, les tarifs de reprise étaient si médiocres, et les processus de revente si fastidieux, que les consommateurs n’étaient pas motivés pour revendre aux reconditionneurs industriels, et trouvaient plus simple d’oublier leurs matériels obsolètes dans un tiroir. Une catastrophe écologique.
CompaRecycle a contribué à ce que le volume de reprise de smartphones d’occasion décolle en France (+50%), grâce à un modèle générant un vrai marché, donc des prix incitatifs (+40% depuis sa création). Jusque-là, les tarifs de reprise étaient si médiocres, et les processus de revente si fastidieux, que les consommateurs n’étaient pas motivés pour revendre aux reconditionneurs industriels, et trouvaient plus simple d’oublier leurs matériels obsolètes dans un tiroir. Une catastrophe écologique !
Premier comparateur de reprise à avoir été créé dès 2012, bien avant la folie du reconditionné, la plateforme CompaRecycle met au service du secteur un savoir-faire et une expérience client inédite. Son fondateur et CEO Gaël Brouard, s’exclame : « Sans reprise, pas de produits reconditionnés ! Et pourtant, si 66% des Français veulent du reconditionné, seuls 6% recyclent »
Le phénomène de mode et les bonnes intentions sont en marche, mais ils ne suffisent effectivement pas ! Comme le souligne Alain Geldron de l’ADEME, le recyclage est un processus d’économie circulaire, qui dépend de trois leviers interagissants. Il s’agit non seulement du processus de recyclage par lui-même, mais aussi du travail sur l’offre et du travail sur la demande. Le travail sur l’offre passe par l’éco-conception, la mise en place de synergies territoriales industrielles où les déchets des uns deviennent les ressources des autres, puis par l’économie de la fonctionnalité : vente d’un service attaché à un bien plutôt que vente d’un bien ‘sec’. Quant au travail sur la demande, il œuvre pour la consommation responsable et l’allongement de la durée d’usage.
C’est au cœur de cette synergie de développement que CompaRecycle prend tout son sens, en agissant simultanément en faveur des trois démarches préconisées par l’ADEME : travail sur l’offre avec des partenariats industriels en France et des propositions de récupération de bons d’achat en retail, travail sur la demande avec une valorisation des matériels usagés… et, bien sûr, incitation à donner une seconde vie au hightech !
Qui sait qu’aujourd’hui, près d’un smartphone reconditionné sur deux a voyagé sur la moitié de la planète ? Sur 2M1 de smartphones reconditionnés vendus en France, la moitié sont sourcés aux USA ou en Asie déjà reconditionnés, ce qui est très pénalisant en termes d’empreinte carbone. On peut même considérer qu’il s’agit d’une duperie des consommateurs qui, croyant contribuer à un cycle vertueux, provoquent au contraire un problème environnemental de plus.
C’est pourquoi, chez CompaRecycle, on est depuis l’origine très sensible à la notion de circuit court. C’est même un principe fondateur de la plateforme ! Un chiffre est parlant : à elle seule, elle alimente aujourd’hui 65% des reconditionneurs/recycleurs de smartphones du marché français, avec une présence significative en Europe. CompaRecycle est d’ores et déjà N°1 en Belgique, N°1 au Luxembourg, N°2 en volume en Espagne, avec des ouvertures prévues en Pologne, Allemagne et UK dès juin 2021. A noter également : Comparecycle a créé une plateforme B2B qui propose la vente de produits reconditionnés, sourcés en France via ses partenaires.
Les industriels partenaires de l’entreprise (plus de 50 acteurs sélectionnés, dont Recommerce) reconditionnent les produits en France, développant un savoir-faire français, et créant des emplois localement. Ils sont éco-labellisés DEEE (Déchets d’Equipements Electriques et Electroniques) et contribuent à la sécurisation des données, puisqu’ils effacent les données intégrales des produits High tech avec des logiciels professionnels (de type Blancco , etc.).
L’argument premier reste le meilleur prix de reprise garanti !
Autre avantage en pratique, CompaRecycle est une plateforme ‘hybride’.
Cela signifie qu’il est possible de revendre, soit sur le web en 100% digital, soit dans des magasins partenaires proches de chez soi (plus de 10 000 points de vente en France ). Il s’agit de Orange France, Fnac-Darty, Auchan, Leclerc, Carrefour, Welcom, CIC, Crédit mutuel, Cdiscount… Le tout avec la meilleure offre de rachat + bonus constructeur, en bons d’achat immédiats. Et le bonus peut aller jusqu’à 250 € en plus du prix de reprise !