

CompaRecycle a obtenu une médaille de platine, une distinction décernée au top 1 % des entreprises évaluées par EcoVadis au cours des 12 mois précédant la date d'attribution de la médaille.


Fondée en 2011 par Gaël Brouard, ancien directeur commercial chez Nokia, CompaRecycle s'est positionnée comme une plateforme comparative indépendante regroupant les offres de rachat de plus de 65 acteurs français agréés du reconditionné. L'entreprise se concentre principalement sur les smartphones, les tablettes et les ordinateurs portables, acheminant les appareils via un centre logistique central situé en Ille-et-Vilaine où sont effectués l'évaluation de leur état, l'effacement certifié des données et leur transfert vers des reconditionneurs agréés.


A l’approche des fêtes, les Français cherchent plus que jamais à optimiser leurs budgets tout en consommant intelligemment. La revente de leurs appareils électroniques et high-tech obsolètes ou inutilisés s’avère à la fois une aubaine et devient un véritable réflexe. Chaque année, plus de 500 euros par foyer dorment ainsi dans les tiroirs ! CompaRecycle, en tête des meilleures offres de rachat du marché, propose un service de reprise en circuit court depuis plus de 14 ans. Une alternative locale, simple et transparente pour maximiser la valeur de revente des produits tout en améliorant le pouvoir d’achat des consommateurs.


CompaRecycle sponsor de la matinale “ Bonjour” de Bruce Toussaint. Emission de divertissements et d'informations générales.


Smartphones, consoles de jeux, tablettes, ordinateurs… Autant d’appareils high tech que l’innovation rend obsolète chaque année. Pour continuer de rendre le secteur attractif, le marché de la seconde vie prend de l’essor en France, boosté par la pression environnementale et le pouvoir d’achat. Pionnier de l’économie circulaire des équipements high tech, CompaRecycle a mis en place un modèle éprouvé qui a déjà permis le recyclage de sept millions d’appareils !
Depuis 2011, Gaël Brouard, ex-directeur des ventes du fabricant Nokia, a mis en place une véritable prouesse économique et écologique. Un modèle durable et en circuit court : CompaRecycle collecte les appareils dormants pour leur offrir une seconde vie. Alors que moins de 20 % des smartphones dans le monde sont recyclés, le challenger du marché défend la réintroduction des composants rares au cœur de la chaîne industrielle, tout en améliorant le pouvoir d’achat des consommateurs. Un cercle vertueux grâce auquel ont déjà été redistribués plus de 900 millions d’euros de bons d’achat ! « Plus de 120 millions de smartphones sont encore dans les tiroirs des Français, alors qu’ils perdent 20 % de leur valeur chaque année. Ce qui pourrait représenter en moyenne 500 à 600 euros par foyer. Un montant non négligeable en période de crise du pouvoir d’achat », reconnaît Gaël Brouard.
En moins de quinze ans, CompaRecycle a déjà racheté plus de sept millions d’appareils high tech, et se situe sur la première marche du podium en termes de prix. « Nous nous sommes lancés alors qu’il y avait très peu d’acteurs sur ce marché. A l’époque, ils en profitaient pour proposer des prix très bas pour les consommateurs. De notre côté, nous avons décidé d’agréger l’ensemble des repreneurs et reconditionneurs afin de les mettre en compétition et de rendre le secteur vraiment attractif avec des prix de rachat plus élevé », explique Gaël Brouard. Résultat, les prix tendent à la hausse et interpellent les consommateurs, prêts à arrondir leurs fins de mois ! Grâce à son comparateur unique, qui agrège les tarifs de plus de 65 repreneurs, CompaRecycle est à même de maximiser la valeur des appareils dormants et obsolètes. Et de proposer des tarifs de rachat de téléphones parfois 150 à 300 euros plus cher que certains opérateurs ! De quoi séduire les consommateurs et leur redonner confiance en ce marché qui n’a pas d’autre choix que de se structurer.
Plus de 7 millions d’appareils ont déjà été reconditionnés et remis sur le marché de l’occasion par CompaRecycle. CompaRecycle
En effet, les smartphones, consoles, tablettes et ordinateurs sont composés de matériaux rares : terres rares, métaux rares, cobalt, lithium, tantale… Autant de ressources naturelles précieuses dont l’extraction et le raffinage nécessitent d’importants efforts en matière d’énergie et sont sources de pollution pour les milieux. D’autant qu’ils sont concentrés dans certains pays, principalement la Chine, exposant l’industrie européenne non seulement aux risques de pénurie mais aussi à l’instabilité des prix. « Ce que je prône avec CompaRecycle, c’est une économie circulaire, un circuit court qui privilégie l’emploi national et les acteurs français. Nous collectons les appareils en France et les revendons aux reconditionneurs français. Aucun intérêt pour nous de développer notre modèle hors des frontières de l’Europe. Cela n’aurait aucun sens écologiquement parlant », reconnaît Gaël Brouard.
Ainsi, chacun peut librement estimer le prix de son appareil en ligne et en tirer le meilleur tarif. Via la plateforme en ligne CompaRecycle, le processus est simple et rapide. L’utilisateur renseigne la marque, le modèle et l’état de son mobile – fonctionnel, abîmé ou cassé – afin d’obtenir une estimation de reprise. Deux options s’offrent alors à lui : recevoir un virement après l’envoi gratuit du produit ou se rendre en magasin pour bénéficier, dans certains cas, d’un bonus réduisant le coût de son prochain achat. L’IMEI permet de vérifier l’authenticité de l’appareil et d’écarter tout risque de vol. Un outil de géolocalisation indique au consommateur où il peut revendre et utiliser son bon d’achat de reprise au plus près de chez lui. Grâce à la mise en place d’un partenariat avec un logisticien spécialiste du SAV à Vitré (35), CompaRecycle collecte ainsi l’appareil et assure son diagnostic complet : tests d’apparence esthétique et de fonctionnalités, effacement total des données personnelles et professionnelles. C’est après cette phase que l’appareil est transmis à un reconditionneur agréé par la plateforme. Ce dernier assure la remise en état totale, en se rapprochant le plus de l’état neuf, afin d’introduire l’appareil dans le circuit de la seconde main, le marché de l’occasion des produits high tech, en magasins spécialisés ou en ligne.
« Notre mission est de redonner du pouvoir d’achat aux consommateurs sur la base du recyclage de leurs appareils », précise Gaël Brouard. « Nous ne nous battons pas contre les constructeurs bien au contraire, qui développent chaque année de nouveaux modèles. Car l’innovation est le levier de croissance du marché de l’occasion et du reconditionnement. A l’instar de l’automobile, qui peut mieux racheter, réparer et revendre, avec des pièces d’origine, que les revendeurs spécialistes agréés par les marques ? », interroge Gaël Brouard. La réponse est dans la question. D’ailleurs, le modèle économique de CompaRecycle est déjà plébiscité par de nombreuses enseignes qui lui ont confié la gestion de leur service rachat d’appareils high tech. Comme Orange Luxembourg et Belgique, Samsung Stores en France et en Belgique, Auchan, Fnac-Darty, Cdiscount et même SFR pour la partie reprise de flottes entreprise. Un partenariat gagnant-gagnant qui offre aussi la possibilité aux consommateurs de revenir en magasin pour transformer le montant de leur reprise en bons d’achat, et renouveler leurs appareils.


Jamais le pouvoir d’achat n’a été un sujet aussi sensible. Alors que 120 millions de smartphones usagés dorment dans les tiroirs des Français, perdant chaque année 20 % de leur valeur, ils représentent une véritable manne économique pour les consommateurs ! CompaRecycle aide les Français à sortir leurs vieux appareils high tech du grenier et améliore leur pouvoir d’achat.
En 2011, CompaRecycle était pionnier de la seconde vie des appareils high tech. Créé par Gaël Brouard, ancien directeur des ventes chez Nokia, CompaRecycle a mis en place un process rôdé pour permettre aux consommateurs de revendre leurs vieux smartphones, tablettes, ordinateurs portables ou même consoles de jeux et de récupérer une belle petite somme. En moyenne, ces appareils pourraient rapporter 500 à 600 euros à leurs propriétaires ! « Nous avons noué un partenariat avec un spécialiste du SAV, une plateforme logistique dans l’Ille-et-Vilaine, vers laquelle sont routés tous les équipements que l’on rachète », explique Gaël Brouard. « Elle assure le diagnostic complet de l’appareil, avec tests cosmétiques et fonctionnels, et garantit l’effacement total des données. Puis, l’appareil est transmis à un reconditionneur agréé qui s’occupe de le remettre en état proche du neuf et de le revendre au sein de son circuit, qu’il s’agisse de magasins physiques ou de sites internet. »
Pour Gaël Brouard, la mission s’arrête là. CompaRecycle n’est pas un énième site de revente de smartphones d’occasion. Sa valeur ajoutée, c’est son modèle économique en circuit court, privilégiant les acteurs français et l’emploi national. Et surtout son outil de comparaison des prix de reprise, ultra sophistiqué, développé en interne et dont la conception est gardée secrète. C’est cet outil qui lui permet d’affirmer fièrement être le mieux placé en termes de prix de rachat auprès des consommateurs. « Notre plateforme agrège les tarifs de reprise de plus de 65 repreneurs français, spécialistes du reconditionnement. Dès qu’un particulier entre les données concernant son appareil, il obtient ainsi le meilleur prix de reprise », indique Gaël Brouard. Et les différences peuvent parfois atteindre plusieurs centaines d’euros entre CompaRecycle et ses concurrents, opérateurs et pure players investis dans la reprise de smartphones d’occasion !
« Notre rôle, c’est de sortir les vieux smartphones du tiroir, qu’ils soient cassés ou seulement abîmés, afin de leur redonner une deuxième vie ou en récupérer les pièces qui sont désormais essentielles à l’industrie de la téléphonie mobile », commente le PDG de CompaRecycle. Et pour cause, le monde risque de connaître une pénurie de composants électroniques à brève échéance. « Il y a aujourd’hui plus de métaux rares dans les produits dormants que tout ce qu’il reste à extraire », affirme-t-il. Terres rares, lithium, cobalt, tantale, tungstène sont en effet présents dans les batteries, les écrans, les circuits imprimés et les hauts parleurs de bon nombre d’équipements high tech. Si leur extraction et leur raffinage, extrêmement énergivores et polluants, sont concentrés dans quelques pays, notamment la Chine, l’industrie européenne est exposée à des tensions d’approvisionnement et à la volatilité des prix. A l’heure où moins de 20 % des smartphones en circulation dans le monde sont recyclés - reconditionnés, la pression sur les ressources naturelles s’intensifie.
Grâce à une plateforme simple et intuitive, il est facile d’estimer le prix de rachat de son appareil, en mettant en concurrence plus de 65 reconditionneurs nationaux. © CompaRecycle.
La marche en avant pour revendre son appareil via CompaRecycle est simple. Sur la plateforme en ligne, sont posées toutes les questions nécessaires à l’évaluation du tarif de la reprise : le mobile est-il fonctionnel ? Quel est son état général ? Est-il abîmé ? Cassé ? Les réponses entraînent l’estimation du prix de rachat. « Un prix calculé selon deux alternatives », explique Gaël Brouard. « Le consommateur peur rentrer ses coordonnées bancaires pour obtenir un virement, recevoir une étiquette prépayée et envoyer le produit. Sinon, il peut choisir d’aller en magasin. Souvent, cette option offre la possibilité d’ajouter un bonus à la reprise qui permet de diminuer le coût de son prochain appareil ». En rentrant son IMEI, CompaRecycle vérifie ainsi l’identification du produit et s’il n’a pas été volé. Grâce à un outil de géolocalisation, le consommateur peut ensuite choisir de revendre son produit dans l’enseigne partenaire la plus proche et d’utiliser son bon d’achat au sein du magasin le jour même.
Partenaire d’Orange Luxembourg et Belgique, présent dans tous les Samsung Stores de France et de Belgique, Auchan, Fnac-Darty et Cdiscount, CompaRecycle assure le back office reprise d’équipements high tech pour l’ensemble de ces enseignes. Une manière aussi de ramener les clients au sein des magasins physiques. Avec des offres de rachat qui peuvent monter jusqu’à plus de 1200 euros, incluant des bonus reprises, les consommateurs peuvent renouveler leur smartphone pour quelques dizaines d’euros. En moins de 15 ans, CompaRecycle a ainsi assuré la reprise de plus de sept millions d’appareils et redistribué plus de 950 millions d’euros de bons d’achats. Un réel atout en pleine crise du pouvoir d’achat !